Absolument minimaliste, définitivement XXL, savamment dessinée, idéalement connectée : les baies vitrées expriment notre désir d’effacer les frontières entre l’intérieur et l’extérieur, notre quête de luminosité, une envie de beauté et de confort d’absolu. Les menuiseries même s’effacent, la technique se dissimule : reste juste l’ouverture. Cette évolution vers la simplicité apparente nécessite plus de savoir-faire, plus de précision, plus d’expertise. Petit tour de tout ce qui est devenu possible au pays de la transparence et de la lumière.
À la conquête de tous nos espaces
Les baies vitrées ont gagné en légèreté, en finesse et en élégance. Peu à peu, elles ont conquis tous les espaces de la maison. Elles ont ouvert la chambre, territoire de l’intime et lui ont fait prendre un bain de lumière et de fraîcheur, elles ont connecté les cuisines avec les jardins, elles sont montées dans les étages, pour découvrir des terrasses, elles ont éclairé les moments de lecture au salon. Les baies vitrées n’ont pas de limite, ne s’interdisent rien et la lumière s’invite dans toute la maison.
Les baies vitrées panoramique
Panoramiques minimalistes avec de larges vantaux glissant sans bruit sur leur rail ou actionnées par un moteur parfaitement dissimulé : les baies donnent le vertige quand elles semblent s’ouvrir sans fin sur le jardin. La création d’une extension sera souvent l’occasion d’installer ces “murs-rideaux” très contemporains.
Ici, la terrasse partiellement abritée est conçue pour une salle à manger et un salon d’été. La baie transparente contribue à effacer les frontières entre l’intérieur et l’extérieur.
Estomper les frontières dedans/dehors
Une extension offre souvent l’opportunité de repenser le rapport entre l’intérieur et l’extérieur. Ici, une belle combinaison de menuiseries : baies et larges fenêtres ouvrent le regard sur la vie dehors. En hiver, la cuisine est intérieure, tandis qu’en été, elle bascule vers l’extérieur.
Un espace absolument ouvert
Pour une vue idyllique sur le jardin et le bonheur d’une pièce qui s’ouvre totalement en été, on invite la baie à s’escamoter sur deux pans de la maison. Ici, les vantaux se replient. Selon l’architecture des lieux, on pourra aussi opter pour un sytème à galandage. La baie se glisse alors à l’intérieur de la cloison.
Les baies vitrées prennent de la hauteur
La baie, sur toute la hauteur, inonde la pièce de lumière. Ici, les vantaux de belles largeurs sont encadrés d’une menuiserie fine et élégante. Un coulissant d’angle permet aussi de se passer complètement de maçonnerie. On joue avec les stores pour créer au choix une ambiance cosy ou absolument lumineuse.
Aller plus haut !
Porté par l’envie de revenir à un environnement plus nature, le bois s’invite à nouveau dans l’univers de la “menuiserie” au côté de l’alu et du PVC. Ici, sur toute la hauteur, il joue autant le rôle de charpente que de cadre pour de longues fenêtres. On aime l’esprit contemporain et chaleureux de cette extension totalement ouverte sur l’extérieur. On y prévoira des brise-vues à moins d’être parfaitement protégé des regards.
©Menuiserie Méo
Même geste architectural pour cette extension, réalisée en alu, et complètement tournée vers le jardin. On y créera un jardin d’hiver, un espace mixte entre l’intérieur et l’extérieur. Adossée à la maison sur toute la hauteur, l’extension permet soit d’agrandir les espaces existants et de leur offrir de la lumière, soit d’en créer de nouveaux. Une architecture qui se mariera avec les maisons du Nord toutes en hauteur : elles aimeront à gagner tant de l’espace que de la lumière.
Transparence : Des baies vitrées presque sans empreinte
Focus sur une menuiserie bas carbone: Sapa propose depuis fin septembre, deux de ses modèles en version aluminium bas carbone recyclé: le coulissant à levage confort Smartline et ma Façade Élégance 52. L’alliage se compose d’au minimum 75% de matières recyclées provenant essentiellement de menuiseries alumine issues de chantiers de reconstruction. Selon la marque, qui est labellisée, il affiche la plus faible empreinte carbone au monde soit 2,3 kg CO2e/kg d’aluminium*.